Contentieux électoral : le MINAT met en garde contre les troubles à l’ordre public
- wilfriedfrancky
- 4 août
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Rappel du cadre légal

Dans un communiqué radio-presse diffusé récemment, le ministre de l’Administration territoriale (MINAT), Paul Atanga Nji, a rappelé que l’État de droit garantit à chaque citoyen l’exercice de ses libertés, à condition que cela s’inscrive dans le respect strict des lois et règlements en vigueur.
Avertissement contre les troubles à l’ordre public
Le communiqué souligne que la liberté d’opinion ou de manifestation ne doit en aucun cas être utilisée comme couverture pour des actes de violence, la perturbation des institutions ou l’atteinte aux symboles de la République.
Dispositif sécuritaire renforcé
Le MINAT indique que toute personne impliquée dans l’organisation de troubles à l’ordre public, des attroupements non autorisés ou des tentatives de perturbation du processus électoral sera immédiatement interpellée et présentée devant les juridictions compétentes.
À cet effet, des forces de sécurité ont été déployées dans des zones jugées sensibles, notamment autour du Palais des Congrès — siège du Conseil Constitutionnel — ainsi que dans les principales villes du pays.
Surveillance du numérique
Le communiqué précise également que les auteurs d'appels à la désobéissance ou à la violence, diffusés sur les réseaux sociaux ou d'autres plateformes numériques, seront identifiés, localisés et poursuivis. L’espace numérique est qualifié de champ régi par la loi, et non de zone de non-droit. Une surveillance renforcée sera appliquée à toutes les plateformes considérées comme relais de contenus subversifs.
Voici le Communiqué











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